Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Stephan et Marie-France en Asie du sud-est
Archives
Visiteurs
Depuis la création 31 717
25 janvier 2016

Pushkar (25/01/16)

Ajmer Nous quittons Jaipur direction  Ajmer et Pushkar. Ajmer est le plus important site du Rajasthan en matière d’histoire et de patrimoines islamiques. On y trouve le sanctuaire soufi « Dargah ». C’est dans des ruelles étroites et à travers une population très dense que nous arrivons au sanctuaire. Les photos y étant interdites nous ne pourrons pas vous le montrer.  A 13 km d’Ajmer , de l’autre coté du lac, se trouve la ville hindoue de Pushkar. Nous visitons le temple de Brahma et le « brahma ghat » ou Brahma serait apparu. On y fait une prière et une donation à Brahma. Ici aussi les photos étaient interdites.

  Visualiser un diaporama Ajmer Ajmer Pushkar Pushkar Pushkar

Publicité
Publicité
26 janvier 2016

Shekhaweti (26/1/16)

Femme Bonjour ! Aujourd’hui 26 janvier c’est la fête nationale en Inde. Nous n’irons pas à Delhi pour saluer l’invité de marque de la république d’Inde  répondant au nom de « Normal Ier président de France ». Nous avons beaucoup mieux à faire. En effet , nous nous dirigeons vers une région du Rajasthan qui s’appelle « Shekhaweti » surtout connue pour ses « havelis ». Un haveli est une maison bourgeoise richement décorée  datant  du 18ème au  début du 20ème siècle. Ces riches marchands installés sur la route de la soie faisaient officiellement commerce des épices, des pierres précieuses, de la soie, etc...  En réalité, leurs immenses richesses provenaient du commerce de l’opium.

Flo Durant  ses 300 Kms de voiture  qui sépare Pushkar du Shekhaweti , nous nous arrêterons deux fois. Une première fois pour regarder une fête scolaire et son spectacle de danse et une seconde fois pour visiter un village perdu dans l’Inde profonde. C’est entouré de 20 enfants et du représentant de ce village agricole qui nous commençons la visite. Nous la terminerons avec 50 enfants  autour de nous à qui nous offrirons une petite friandise en signe d’adieu. Nous avons pu y prendre énormément de photos de femmes et d’enfants, pour le plus grand plaisir de Marie-France.

Haveli Nadine Le Prince Nous arrivons en début de soirée à Fatehpur premier village du Shekhaweti. Nous visitons un  haveli délaissé par son propriétaire à la surveillance d’un gardien . Nous pouvons  déjà nous rendre compte de la richesse de ces maisons. C’est avec les mêmes techniques et les mêmes artisans qu’avait été décoré le palais du maharaja à Jaipur.  Le second haveli visité a été restauré par une française , Nadine Le Prince, qui s’apprête à la transformer en guesthouse.  Nous logeons cette nuit, au Mandawa Haveli Hôtel , un haveli restauré du 19 siècle.  Magnifique !

 

  Visualiser un diaporama Maman a la fete de l ecole A la fete de l ecole Hindou Femme Homme Enfants Femme Femme Femme StepWell Fatehpur Haveli Fatehpur Haveli Fatehpur Haveli Fatehpur Florence à Fatehpur Fatehpur Haveli Nadine Le Prince

 

27 janvier 2016

Shekhawati (27/1/16)

Joshi Haveli Mandawa Nous passons ce mercredi 27 janvier dans le Shekhawati. Nous démarrons par la visite à pied de Mandawa, charmante petite ville de 24.000 habitants. Elle est la mieux équipée pour les touristes , nous  explique notre guide local. Nous visiterons au total 3 havelis dont la structure est toujours la même. D’abord une cour intérieure pour recevoir les visiteurs et puis une seconde cour pour les femmes et les tâches ménagères. Les peintures murales sont toujours aussi riches. Il n’est pas rare d’y trouver des pierres précieuses telles que de l’émeraude, du saphir, du lapizlazuli et de l’or. Trois kilos paraît-il dans le premier haveli  visité. Nous visitons également un puit méthode ancienne.

Au fort de Mandawa Juste avant midi, nous partons pour la ville toute proche de Jhunjhunu. Nous y visitons un temple hindou , le Rani Sati Mandi » ( Pas de photos autorisées). En nous promenant vers  le « stepwell » de la ville, nous rencontrons des havelis qui nous permettent d’imaginer la richesse de la ville  vers les années 1800-1900.Nous retournons à Mandawa et vers 17H30 nous démarrons une seconde visite à pied par le « Castle ». Cet ancien fort a été transformé en hôtel de luxe. Grâce au sens de la discussion de Vivek, le garde nous accompagne pour une visite guidée. Nous terminons la soirée au restaurant Monica installé sur le toit d’un ancien haveli.

  Visualiser un diaporama Mandawa Haveli Hotel Haveli 1 Mandawa Haveli 1 Mandawa Haveli 1 Mandawa Joshi Haveli Mandawa Joshi Haveli Mandawa Mandawa Haveli 3 Mandawa Haveli 3 Mandawa Haveli 3 Mandawa Mandawa Mandawa Rani Sati Mandi  Stepwell Jhunjhunu Jhunjhunu Mandawa Haveli Hotel Mandawa Haveli Hotel Le fort de Mandawa

29 janvier 2016

Old Delhi (29/1/16)

le fort de Jhunjhunu Nous sommes partis  hier, jeudi  28 janvier donc, de Mandawa dans le Shekhawati  direction Delhi. Comme l’horaire le permettait, nous nous sommes arrêtés à Jhunjhunu pour y visiter quelques  haveli supplémentaires. Nous sommes ensuite rentrés à Delhi avec les embouteillages du soir.

  Visualiser un diaporama Haveli à Jhunjhunu Jhunjhunu Jhunjhunu Jhunjhunu Jhunjhunu Jhunjhunu Homme à Jhunjhunu marché à Jhunjhunu Haveli à Jhunjhunu Haveli à Jhunjhunu Vers Delhi Jhunjhunu

Gurdwara Bangla sahib Nous commençons notre journée de ce vendredi par la visite du temple Sikh « Gurdwara Bangla Sahib ». Nous y passons près de deux heures  à visiter le temple, les cuisines et le musée.

 

 

 

KarimNous prenons ensuite le métro direction Chandlni Chowk. Nous traversons une partie du marché et allons déjeuner chez Karim ‘s. La première page du menu de Karim’s fait référence à un article du « Time’s magazine » qui le place comme étant une des meilleures tables d’Asie. Le repas est bon, sans plus,  les prix sont très corrects mais c’est surtout le pain qui mérite le voyage.    

Lors de notre première journée à Delhi nous n’avions pu visiter le fort rouge à cause des préparatifs de la fête de l’indépendance. Nous nous dirigeons donc vers le fort rouge …… qui est à nouveau inaccessible  à cause d’un festival « des états de l’inde ».  Nous faisons donc « contre mauvaise fortune bon cœur » et visitons le festival.  Les marchés des alentours ne nous plaisent pas vraiment et c’est en métro que Vivek nous conduit vers le marché de « Kandor ».C’est moins populeux, un peu plus propre et surtout bordé Flo devant le fort rouge de « vrais magasins » à l’occidental.  Nous terminons notre journée par le marché de « main Bazar » prés de notre hôtel. Vivek connait bien le quartier et nous amène dans des petits « bouibouis », on nous dégustons des petits plats « no spicy ».  Nous partons vers 11H du soir pour l’aéroport. Florence décolle vers  à 3H du matin direction  Bruxelles et nous nous  continuons  vers Bhubaneswar.  

  Visualiser un diaporama Mariage à Delhi Mariage à Delhi Gurdwara Bangla sahib Cuisine au Gurdwara Bangla sahib Connaught Place Delhi DelhI Chandli Chowk DelhI Chandli Chowk DelhI Chandli Chowk Delhi a market Delhi Bharat Parv Delhi Bharat Parv Delhi Bharat Parv Delhi Bharat Parv Delhi Bharat Parv Delhi Bharat Parv Delhi le fort rouge Dans Delhi

30 janvier 2016

Bhubaneswar (30/1/16)

Bhubaneswar Udayagiri Bonjour ! Nous voilà donc en « Orissa », fatigués car n’ayant quasi pas dormi, mais très heureux de découvrir cette ville de Bhubaneswar beaucoup plus moderne et beaucoup plus propre que Delhi. Et pour couronner le tout,  le soleil est déjà présent à 8 heures du matin et le thermomètre indique 21 degrés. Il montera jusqu'à prés de 30 degrés dans l’après midi. Nous sommes dans la ville de Vivek. Il connaît très bien tous les sites visités. Après une tasse de thé, nous démarrons nos visites par les caves d’Udayagiri et de Khandagiri.  Ensuite , nos visiterons les temples de Parasuramesvara et Muktesvara . Après un petit repos bien nécessaire, nous avons visité  le « festival Adivasi mela ».  Cette « foire commerciale » organisée par le gouvernement  sert à la promotion de toutes les tribus de l’Orissa. Une vingtaine de maisons « tribales » y ont été construites, chacune ayant un style et des matériaux différents.  C’est également le bon endroit pour déguster des plats régionaux.

  Visualiser un diaporama Bhubaneswar Udayagiri Bhubaneswar Udayagiri Bhubaneswar Udayagiri Bhubaneswar Khandagiri Bhubaneswar Khandagiri Bhubaneswar Khandagiri Bhubaneswar Parasuramesvara Bhubaneswar Parasuramesvara Bhubaneswar Parasuramesvara Bhubaneswar Muktesvara Bhubaneswar Muktesvara Bhubaneswar Muktesvara Bhubaneswar Adivasi mela  festival Bhubaneswar Adivasi mela  festival

Publicité
Publicité
31 janvier 2016

Gopalpur (31/1/2016)

Fabrication de la soie Nous quittons Bhubaneswar direction Gobalpur-on-sea.  Comme son nom l’indique Gobalpur est une ancienne station balnéaire de la période anglaise. Abandonnée depuis, elle renait actuellement de ses cendres pour le plus grand plaisir des touristes locaux.

Première halte : chez  des artisans  textiles. On nous explique le cheminement de la soie,  depuis le cocon  jusqu’au produit fini. On ne s’en sort pas sans l’achat d’un foulard en soie.

Mangalajodi marais Deuxième halte : dans  le village de Mangalajodi au bord du lac Chilika. Le lac atteint 1100 km² durant la mousson et 600 km² durant les mois d’avril-mai. Les parties non inondées sont alors un refuse pour les oiseaux migrateurs. C’est dans cette partie du lac, devenue une immense réserve, où nous nous trouvons.  Nous nous enfonçons  avec une barque à fond plat dans le marais et découvrons petit à petit tout un ensemble d’oiseaux migrateurs venu de Sibérie ,d’Iran ou d’ailleurs. Un guide local nous détaille toute la faune et flore locale.  Nous déjeunons après dans l’éco village « Godwit ». Le gouvernement y a éduqué  les villageois à ne plus manger les oiseaux et en contrepartie les a aider  pour développer le tourisme et la pêche.

Troisième halte : au bord du lac Chilika .  Le lac est immense et nous nous arrêtons ici dans un petit port de pêche. Il y a toute sorte de poissons et de crabes. Nous achetons un kg de « scampis »  que nous apporterons à l hôtel pour le repas du soir.

NB : Les connections internet étant très lentes, les photos sont mises sur le « blog » en fonction des possibilités techniques !  Actuellement, nous avons 4 jours de retard pour les photos .

  Visualiser un diaporama Femme Fabrication de la soie Homme Mangalajodi marais Ibis a tete noire Panier à poisson Femme Femme Hommes à velo Enfants Crabe au lac Chilika Lac Chilika Marché aux poissons lac Chilika Lac Chilika

1 février 2016

Balliguda (1/2/16)

Pecheurs à Gopalpur Nous partons ce matin de bonne heure direction Balliguda  à la rencontre des tribus. Avant cela Marie-France n’a pu résister au plaisir de prendre quelques photos au levé du soleil. Nous sommes au bord de mer, dans le golfe du Bengale  et le soleil se lève ici vers 6H30. A cette heure là, les pêcheurs reviennent déjà de leur première sortie. Ils tirent leurs filets  hors de l’eau, récupèrent le poisson et repartent aussi tôt au large pour une seconde pêche. 

Femme travaillant au champ Nous traversons la campagne verdoyante. Ici contrairement au Rajasthan, tout est vert et les paysans sont au travail dans les champs.  Vivek nous explique que la terre est fertile et que tout l’eau vient de la période des moussons.  Grâce aux systèmes d’irrigation  il n’y a aucun problème pour cultiver  toute l’année du riz, des cannes à sucres, des légumes de toutes sortes, etc…

Femmes dans champ cannes a sucre Nous nous limitons à quelques arrêts photos et à une visite d’une école et  aussi à discuter avec un paysan récoltant la canne à sucre. Dans l’après-midi, le décor change : nous quittons doucement la plaine, la route commence à monter et nous entrons dans une  zone beaucoup plus boisée. Les champs se font rares, se limitant à quelques plateaux où sont installés les villages.  Ici pas d’irrigation, les champs sont au repos et ne servent que pour le bétail qui les parcourt. 

  Visualiser un diaporama Barque à Gopalpur Pecheurs à Gopalpur Lever du soleil Gopalpur Lever du soleil Gopalpur Lever du soleil Gopalpur Pecheurs à Gopalpur Femmes portant des pierres Femme ramassant des lentilles Viellards Jeune fille écolières Femmes dans champ cannes a sucre Paysan Vielle femme Jeune homme Paille de riz Paysan

2 février 2016

Rayagada (2/2/16)

zone tribale Balliguda femme avec tatouage Nous nous réveillons ce matin à Balliguda avec un beau soleil. Nous sommes déjà dans les montagnes (1500m) et nous l’avons remarqué cette nuit à la température ambiante. Une petite couverture était bien nécessaire. Didja, notre chauffeur, nous a préparé le petit déjeuner. Il en avait fait de même hier soir pour le dîner.

Nous traversons quelques villages  tribaux. Ici les maisons sont en dur ou en bois. Les villages sont assez déserts car les hommes sont partis travailler dans la forêt et les femmes ne se montrent guère. Peut-être sont-elles parties au marché ?  

Vivekananda children school Notre premier arrêt se fait dans une école pour enfants  dont les parents ne peuvent s’en occuper, soit à cause d’un décès ou pour toutes autres raisons. L’accueil des enfants (+/- 50) est surréaliste. Ici en Inde, la manière la plus respectueuse de saluer est de venir les mains jointes et puis de toucher les pieds de la personne. Nous avons eu droit à un accueil de ce type et je vous assure que cela fait bizarre.  Le directeur de la « Vivekananda School »  nous explique le fonctionnement de l’école et nous fait visiter les locaux. L’internat est séparé pour les garçons et les filles. L’école s’occupe depuis 6 heures du matin jusqu'à 21 heures à fournir aux enfants la meilleure éducation possible.  Il nous explique aussi qu’il reçoit des subsides du gouvernement mais cela n’est pas suffisant pour son développement. Sur les bâtiments, on trouve des inscriptions indiquant que les constructions ont été financées  par des associations Suisses ou Allemandes. 

 Après toutes ces émotions, nous partons pour la visite d’un village tribal tout proche. Dans ce village, les hommes  et les femmes sont habillés normalement. Seuls leurs rites sont différents de la normale. Vivek nous montre par exemple l’endroit où les villageois sacrifient encore aujourd’hui, soit un buffle, soit une chèvre pour calmer les dieux de leur courroux. Les femmes portent des tatouages sur le visage et s’occupe de presque tous les travaux  du ménage et des champs. Les hommes s’occupent de récolter la sève d’un palmier, le transforment en alcool et finalement consomment le produit fini. Nous avons goutté  …. Ce n’est pas très bon.

zone tribale Balliguda maison A midi, c’est sous un soleil de plomb que nous parcourrons le marché de Kotgarh. Tous les mardis, les villageois des alentours se donnent rendez-vous au marché. Pour d’obscures raisons, les photos sont interdites. Nous dînons dans un bouiboui, où après bien des recherches, ils ont trouvé deux petites cuillères pour que nous ne soyons pas obligés de manger le riz et les currys en sauce avec nos doigts.

Nous voyageons toute l’après-midi en voiture direction Rayagada. Nous faisons quelques haltes, la dernière, pour visiter une petite usine de fabrication de feuille de carton.

Petite constatation : depuis Bhubaneswar, nous n’avons pas vu un seul touriste. Je peux vous assurer que lorsque nous nous promenons en rue, tout le monde nous regarde avec des yeux interrogatifs. Dans le petit restaurant par exemple,  lorsque nous scrutions discrètement les tables voisines, nous remarquions que tous les regards étaient constamment braqués sur nous.

  Visualiser un diaporama Vivekananda children school Vivekananda children school zone tribale Balliguda vieille femme tatoué zone tribale Balliguda maison zone tribale Balliguda travail de champ zone tribale Balliguda enfants zone tribale Balliguda dans la foret zone tribale Balliguda femme avec tatouage zone tribale Balliguda recolte sève zone tribale Balliguda maison zone tribale Balliguda femme avec tatouage zone tribale Balliguda femme avec tatouage zone tribale Balliguda Jeune fille zone tribale Balliguda femme avec tatouage zone tribale Balliguda Jeunes filles zone tribale Balliguda femme avec tatouage zone tribale Balliguda Jeunes filles _zone_tribale__sur_la_voie_ferr_e

3 février 2016

Jeypore (3/2/16)

vers le marché de Chatikona La loi de la vexation universelle, vous connaissez ?  Je vous quittais hier soir en vous expliquant que nous n’avions pas encore vu un touriste en Orissa ; ni dans l’avion, ni durant notre trajet. Arrivant dans le restaurant de l’hôtel, que voyons-nous ? Une quinzaine de touristes occidentaux.  Toutes ces personnes nous les revoyons ce mercredi matin au marché de Chatikona. Une des grandes attractions du sud de l’Orissa est ce marché de Chatikona avec surtout la venue des aborigènes de la tribu des Dongria. Malheureusement, les photos sont interdites. De plus, il faut un permis pour aller sur ce marché. Permis que l’administration centrale ne délivre plus  et cela à la plus grande joie de la police locale qui exploite le filon à fond. Je vous disais hier que les raisons officielles me semblaient obscures et peu pertinentes. Aujourd’hui, je  pencherais plus à croire que c’est la présence de groupes maoïstes  pas très accommodants et pourchassés par la police qui en serait la cause. Nous visitons ce marché en présence d’une connaissance à Vivek, un journaliste local qui nous sert de caution pour cet avant-midi.  Le marché commence à la gare de Bissamcuttack et s’étend sur +/- 300 mètres. D’un point de vue légumes et fruits, on y trouve la même chose que chez nous. Il y a en plus  des épices, des lentilles et du riz sous toutes les formes. Les habits des Dongria tranchent fortement avec ceux des villageois. Ils sont très rudimentaires et pas très propres. Leur dentition est problématique. Peut-être est-ce dû à leur consommation journalière élevée d’alcool ?

Nous reprenons la route direction Jeypore. Nous nous arrêtons dans un village afin de parfaire le besoin de photos de Marie-France, besoin fortement frustré en cette belle matinée. Dans l’après-midi nous traversons une région de collines entrecoupée de vallées et de rizières.

 

4 février 2016

Onkadelli (4/2/16)

<pLe marché de OnuKudelli >Aujourd’hui jeudi , c’est jour de marché  à Onukudelli ( ou Onkadelli ).  Ce marché est présenté par les différents guides comme l’attraction la plus sensorielle d’Orissa.  Nous arrivons vers 10h30 ,après  65 kms de routes assez difficiles. Ici aussi les photos sont interdites, … quoi que ! Auprès des villageois locaux se mêlent les minorités tribales bonda, gadaba, mali et didal. On les reconnaît principalement  par leurs tenues vestimentaires et leurs bijoux. Le marché est très animé, coloré et très peuplé. Le marché est parcouru par un nombre important de touristes  pour l’Orissa :  +/- 30 personnes à peau blanche.  Vivek connait un habitant de cette région qui vers 12H nous rejoint. Tous les touristes  ont depuis longtemps  quitter les lieux.  Les agences de voyage n’aiment pas trainer à Onukudelli. Il faut savoir que la principale activité de ce marché , outre les produits alimentaires, est la vente et la consommation d’alcool. Cela rend les hommes bonda plus agressifs , et comme ils sont habiles avec leurs arcs et flèches il ne vaut mieux pas les côtoyer.

Femmes Notre accompagnateur local nous explique que si nous le suivons  nous pourrons prendre des photos. Il est connu et respecté par les locaux et distribuera  de la menue  monnaie à qui de droit. De plus, il connait les  policiers locaux. Par mesure de sécurité, nous ne prendrons pas en photos les hommes bonda déjà bien imbibés.  Après une heure de balade, nous reprenons la route direction l’ecolodge où nous  logerons ce soir.

Village Desia Après une sieste bien réparatrice, nous repartons  à pied en compagnie d’une jeune fille travaillant dans l’hôtel  en direction de son village.   Nous traversons la campagne bordée de zones cultivées ou boisées.  On y cultive des légumes et dans les zones plus irriguées du riz. 

  Visualiser un diaporama _Vers_Onukudelli _Vers_Onukudelli_rivi_re Femme Bonda Vivek buvant l alcool local femmes vendant de l alcool femmes Onukudelli Femme Gabana Marché de Onukudelli Femmes Gabana femme au marché de Onukudelli Marchandes de legumes Vielle femme femme au marché de Onkadelli Au marché de Onkadelli femme au marché de Onkadelli femme au marché de Onkadelli femme au marché de Onkadelli Village Desia Plantation du riz Village Desia Enfants Vielles dames rizières

5 février 2016

Kunduli (5/2/16)

Desia Socially responsible Vendredi, jour du marché !  D’accord c’était déjà mardi, mercredi et jeudi. Mais aujourd’hui c’est à Kunduli c.à.d. à +/- deux heures trente de route de notre logement. Nous logeons au « Desia socially reponsible  tourism ». La vocation de ce lodge est de fournir un travail à quelques personnes du village voisin et grâce aux bénéfices générés d’envoyer quelques jeunes filles en formation.

 

Marché de Kunduli Au marché de Kunduli, nous retrouvons notre trentaine de touristes occidentaux. Il faut avouer que dans cette foule importante cela n’est pas énorme. Nous voyons à peu près les mêmes choses qu’aux autres marchés. Ici, en plus, il y a la vente de moutons, de vaches  et des peaux de bêtes. L’absence de tribus aborigènes n’est pas un handicap car les tribus présentes sont tout aussi intéressantes et de plus, les photos sont permises. La consommation d’alcool est tout aussi impressionnante qu’a Onukudelli. Vivek a d’ailleurs dù rattraper une vielle dame qui, à 11 heures du matin, était  déjà dans un état d’ébriété avancé.     

France et ses copines Dans l’après-midi, nous visitons  un village de potiers et parcourons la campagne. Nous nous arrêtons pour visiter une briqueterie, admirer un paysage, un lac, un barrage ou encore parcourir un village à pied. Vivek achète alors un paquet de bonbons et demande à un enfant d’en faire la distribution.  Ici d’en le sud, les gens  sont plus ouverts que ceux rencontrés précédemment dans notre voyage. Juste avant  l’obscurité, nous admirons les « Duduma Waterfalls.

Le clou de la journée sera la fête du vendredi soir au village voisin. Marie-France  participe aux différentes danses locales et s’y fait de nouvelles copines . Nous logeons encore au Desia lodge.

  Visualiser un diaporama Prés d Onukudelli Marché de Kunduli Femme Hommes aux tambours Femme au cigare Femme Minubus local Vente d alcool Hommes Marché de Kunduli Vendeuse Tatouage femme mali Femme Mali Marché de Kunduli Potiers Sur la route Lac artificiel barrage Fabrication de briques Dans village Village Chauve-souris géantes Duduma Waterfall Danse au village musicien Danse au village Avec Didja France et ses amis Tambours

6 février 2016

Gupteshwar (6/2/16)

Marie-France Aujourd’hui, je serais bref. En effet , nous sommes revenu à Rayagada  dans un hôtel international. Nous avons la télé et il y a Manchester City contre Leicester , soit le top de première league.

Nous avons fait beaucoup de Km  et nous nous sommes arrêtés pour un arrêt village, un arrêt photos, un arrêt temple, un arrêt lunch et un arrêt thé.(=  Je vous propose donc de voir les photos.

  Visualiser un diaporama Vieille dame Travail de champ Rivière sacrée A le rivière Selfie Taureau dans temple de Gupteshwar Lunch Filles ramassant des feuilles

7 février 2016

Taptapani (7/2/2016)

Enfants Bonjour, aujourd’hui dimanche 7 février nous continuons contre remontée vers Bhubaneswar. Notre journée commence classiquement par la visite d’un village. Nous roulons  ensuite direction Chandragiri  et son camp tibétain. En 1959, lorsque la Chine envahit le Tibet , une colonie de tibétain s’installe dans cette région de l’Odisha.  En 2008, la construction d’un nouveau temple est terminée. Celui-ci sera d’ailleurs consacré par le Dalaï Lama en personne. Nous logeons ce soir à Taptapani , où nous avons  visité un temple Hindou à coté d’une source chaude.

Temple tibétain   Visualiser un diaporama Enfants Rangée de petites maisons Pont de bois Logement des moines Temple tibétain Devant le temple Moine Vieille dame tibétaine Voyage scolaire autre temple autre temple Temple de Taptapani

8 février 2016

Lac Chilika (8/2/16)

Bonjour. Aujourd’hui nous remontons vers le Lac Chilika.  Après une heure de route, nous visitons une école.   Nous arrivons, Vivek discute un peu avec la directrice et le programme est adapté pour nous.  Les 160 enfants qui composent cette école primaire, démarrent classiquement leur journée à 10H par la prière et puis nous assistons à un petit spectacle. D’abord un enfant raconte une histoire avec une morale, après ils nous jouent une petite scène de théâtre et pour terminer nous assistons à un spectacle de danse. C’était assez réussi. Après une heure, nous nous éclipsons et  reprenons la route.

Photo de groupe

Lorsque nous nous arrêtons pour déjeuner nous en profitons pour visiter un peu les alentours. Vers 14heures, nous nous arrêterons  au bord du lac Chilika pour admirer les oiseaux. Nous visiterons encore un village et  terminons la journée sur un ferry qui traverse le lac Chilika pour  la ville côtière de Sataparha.  

Couché de soleil sur le lac Chilika   Visualiser un diaporama Vers Brehmapur Ecole Danse Enfants Fleur de Lotus Aigrettes Mon ami le héron Dans un village Villageoise Jeune fille Oiseaux sur le lac Chilika

9 février 2016

Vers Puri (9/2/16)

Lac Chilika Nous aurions pu intituler le post de ce jour : « crabes, dauphins et tortues ». Crabes tout d’abord, car nous en avons mangés hier soir et que le lac en est rempli. Dauphins ensuite, car nous en avons vu dans le lac Chilika.  Ces dauphins sont appelés « dauphins de l’Irrawady ». Tortues de mer enfin, car nous en avons vu des dizaines mortes sur la plage. En janvier, les tortues sont revenues près des côtes pour pondent leurs œufs. Malheureusement, certaines d’entre-elles ont été prises dans les filets de pêcheurs avant d’être rejetées à la mer. Le spectacle est assez désolant ! 

Après une matinée sur un bateau de pêcheurs, nous avons repris la route direction Puri. Nous nous sommes arrêtés dans un village d’artisans dédié à la peinture. C’était très joli, mais nous n’avons rien acheté.

Puri Jagannath Mandir Après 16h, nous démarrons la visite de Puri. C’est la ville la plus touristique de l’Odisha grâce à son temple le « Jagannath Mandir ». Nous nous approchons en tuk-tuk et devons marcher les 500 derniers mètres car les voitures sont interdites au centre-ville. Comme nous ne sommes pas des Hindous, nous devons nous contenter d’admirer ce temple depuis la plate-forme de la bibliothèque située juste en face de l’entrée principale. Nous sommes impressionnés par la foule présente pour un jour banal. Vivek nous explique que pendant le festival, plus de 1.800.000 pèlerins se pressent pour entrer dans le temple.  Nous continuons notre promenade entre les échoppes pour arriver près de la mer. C’est là que se trouve le site de crémation. Ici, le gouvernement fournit le bois et 24 heures sur 24, on y brûle des corps. C’est assez impressionnant de voir ces corps, décédés il y a moins de 24 heures, arrivés dans un linceul et  être brûlés sur un terrain « vague ». Il ya au moins une dizaine de foyers. Quand il ne reste plus rien,  on recueille quelques cendres dans une urne et on démarre un nouveau foyer à quelques mètres.  

Nous continuons la soirée sur la plage. Il y a ici des milliers de touristes indiens.  Ceux -ci se retrouvent tous ,le soir venu, sur la plage où foisonnent marchands ambulants et échoppes de tous types. Il est déjà 21 heures lorsque nous dînons sur la terrasse en plein air  du « Grand » restaurant  offrant une vue splendide sur le Jagannath Mandir et l’agitation de la « Grand road ».

  Visualiser un diaporama Lac Chilika Ferry Lac Chilika Pecheur de crabes Lac Chilika Crabes Lac Chilika Aigrettes Lac Chilika Tortue Puri Jagannath Mandir Puri Main Road Puri Le soir sur la plage Puri une patisserie Puri Grand restaurant

10 février 2016

Konark et Puri (10/2/16)

Konark Temple du soleil vue avant entrée Nous visitons aujourd’hui Konark et son « Temple du Soleil » inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. Ce temple a été construit au 13ème siècle et a été partiellement reconstruit. Nous avons beaucoup aimé les détails des sculptures murales.

Après déjeuner, nous visitons une école de danse : le « Konark Natya Mandap ».  Nous assistons à un spectacle joué par 7 garçons maquillés et habillés en filles. Ensuite, deux filles interprèteront des danses hindoues plus classiques. C’était très joli.

Konark Natya Mandap

Nous continuons notre journée par la visite du musée archéologique et une balade sur la plage pour y voir les pêcheurs terminer leur journée.

Avant de dîner au restaurant chinois de l’hôtel, nous parcourrons encore les ruelles menant au temple à la recherche du fameux « Puri Cheese-cake » de monsieur « Bikram Sahoo ». Ce gâteau est fabriqué à partir de fromage cuit directement à la poêle et brûlé artisanalement.  Son goût typique provient de la cardamone. Nous l’avons goûté, c’est un régal.

  Visualiser un diaporama Konark Temple du soleil vue avant gauche Konark Temple du soleil vue coté gauche Konark Temple du soleil Danseuses Konark Temple du soleil Roue du char Konark Temple du soleil Détails Konark Temple du soleil Détails suite Konark Temple du soleil scene erotique Konark Natya Mandap Danseurs Konark Natya Mandap Figures Konark Natya Mandap Photo Finale Konark Village de pecheurs Konark sur la plage Konark sur la plage femmes Konark sur la plage enfants Puri Travail dans le sable Puri Fabrication Cheesecake Puri Grand Road

cliquer ici pour voir l album en HD

11 février 2016

Retour Bhoubaneswar (11/2/16)

Le post du jour est intitulé : retour à Bhubaneswar. Il eu été plus correct d’écrire « retour à Delhi » car nous prenons ce soir l’avion pour  la capitale   Indienne.

Nous nous sommes baladés prés de 3 heures dans la campagne, de village en village,  avant d’arriver chez  Didja, notre chauffeur. Celui-ci nous avait préparé un diner  comme jamais nous n’en avons eu durant ce voyage.  Comme le tourisme en Odisha n’est pas très florissant, Il a le projet d’ouvrir un restaurant. Incontestablement, il a les qualités pour le faire. 

Maison ancienne Nous terminons notre voyage en Odisha par la capitale de l’état : Bhoubaneswar . Nous visitons quelques temples et repartons vers 18h à Delhi.

  Visualiser un diaporama Village près de Puri Noix de Coco Paysan Fabrique de cordes Fabrication de cordes à la main Fabrication de paillaison On quitte le village Chez Didja Chausathi Yogini Temple Chausathi Yogini Temple Brahmesvara Temple Brahmesvara Temple RajaRani Temple RajaRani Temple Lingaraj Mandir Lingaraj Mandir ou Cliquer ici pour voir l album en HD

6 février 2012

Luang Prabang (06/02/12)

Petit dejeuner Nous sommes au royaume du Siam. Et qui a vu Anna et le Roi sait qu’on peut y « gonguer le gong ». Et bien, c’est ce que font les moines à partir de 4h le matin et ce, pendant plus ou moins un quart d’heure. Et comme y a 4 monastères à proximité, je ne vous dis pas la galère. Après, c’est au tour du coq et  à 7 heures quand les avions s’y mettent, on sait qu’il est temps de se lever.  Nous prenons le petit déjeuner dans le jardin de la guesthouse et partons à 9 heures précises pour le centre ville de Luang Prabang. La ville a été classée en 1995 au patrimoine mondial de l’Unesco. De ce fait, les camions et les bus sont interdits dans le centre de la ville. Luang Prabang est l’attraction principale du Laos. C’est aussi le siège du pouvoir religieux du pays.Marché matinal à Luang Prabang Nous commençons notre journée par le marché matinal. On y vend principalement de la nourriture. La cuisine laotienne tourne surtout autour des légumes : salades, tomates, gingembre, herbes aromatiques telle la menthe, citronnelle, coriandre. Le riz et les nouilles sont bien sûr présents à tous les repas. La viande  de poulet, de bœuf, de porc ou  le poisson complète en petite  quantité le repas du soir.  L’hygiène nous semble acceptable à l’exception de la viande qui attire beaucoup les mouches. Après le marché, nous marchons un petit peu pour arriver au temple « Vat Mai Suvannaphumaham ». Construit en 1821 pour remplacer l’original de 1796, il fut épargné par les chinois qui le trouvaient trop beau. Le Sangharat , le patriarche du bouddhisme laotien y réside encore.  Ce monastère est du style Lanna caractéristique de l’ancien royaume de Lanna dont Chiang Mai était la capitale.(cfr voyage 2011) Il ressemble en effet, aux temples Lanna que nous avons visités l’année passée dans les villes de Lampang et Lampung au nord de la Thaïlande.
Un temple bouddhiste se compose de plusieurs bâtiments.
1 le Sim qui est le bâtiment le plus sacré qui contient des représentations de Bouddha.
Sim du Vat Mai Suvannaphumaham  2 Le stupa monument funéraire qui contient des reliques.
Stupa du Vat Mai Suvannaphumaham  3 La Bibliothèque qui renferme les textes sacrés.
Bibliothèque du Vat Mai Suvannaphumaham  4 Une pagode ou salle de classe pour les bonzes.
Salle de cours 5 Des bâtiments annexes : dortoirs, réfectoires,….. 
Bâtiments Annexes 6 Un gong pour réveiller … tout le monde.
Gong du Vat Mai Suvannaphumaham 

Mont Phu SI Après la visite de ce temple, nous décidons d’escalader le mont « Phu Si ». Il s’agit en réalité d’une colline haute de 100m  ayant en son sommet un Stupa doré de 24 mètres appelé That Chomsi. La montée nous permet de contempler la ville de Luang Prabang. Le ciel est dégagé et le soleil s’en donne en cœur joie. Il fait 33° à l’ombre mais ici l’ombre est difficile à trouver. En chemin, nous en trouvons un petit peu et en profitons pour écouter les cigales. On ferme les yeux et on se croit en Provence en plein mois d’août. Presque arrivé au sommet, un ensemble de statues de Bouddha bordent le chemin. Il y a des positions de Bouddha pour tous les jours  de la semaine et le mercredi il en a même deux.

Palais Royal Nous redescendons et déjeunons dans un agréable restaurant : le Lao Lao Garden.  Vers 14 heures, nous entamons la visite du musée du Palais Royal. Depuis la prise du pouvoir en 1975 par les communistes, il n’y a plus de monarchie au Laos. Le palais a été conservé intact et est devenu aujourd’hui un musée. Le palais se décompose en 2 parties. D’une part, les salles de réceptions officielles et  d’autre part les appartements privés du roi. Autant la première partie est somptueuse avec ses murs en dorure autant les appartements privés sont sobres. Les photos sont malheureusement interdites.
Le site du palais royal contient également le « Vat Ho Pha Bang ». Ce temple doit servir d’écrin au Pha Bang qui est un Bouddha en or de 83 cm  auquel la ville doit son nom.  L’intérieur est rouge et or. Nous y croisons les hollandais avec qui nous avons fait la route depuis Vang Vieng.  

Bonzes au Vat Xieng ThongNous nous promenons le long du Mékong et arrivons à notre dernier temple de la journée : le « Vat Xieng Thong ».  Ce monastère est le site religieux le plus visité de Luang Prabang.  Le sim date de 1560 et est aujourd’hui en restauration. Différentes mosaïques ornent les façades. C’est l’heure de la prière et les moines se réunissent pour écouter  leur chef. Un groupe de 3 moines frappent le gong pendant prés de 20 minutes. Mais plutôt qu’une longue explication, je préfère vous laisser regarder les photos.
  Visualiser un diaporama Marché matinal à Luang Prabang Marché matinal à Luang Prabang Brochettes de grenouilles Marché matinal à Luang Prabang Vat Mai Suvannaphumaham  Vat Mai Suvannaphumaham  Vat Mai Suvannaphumaham  Bouddha _ Position du samedi Bouddha _ Position du mardi Vat Ho Pha Bang Vat Ho Pha Bang Vat Ho Pha Bang Luang Prabang Luang Prabang Bonzes au Vat Xieng Thong Bonzes au Vat Xieng Thong Bonzes frappant le gong Bonzes frappant le gong Vat Xieng Thong Bonzes au Vat Xieng Thong Bonzes au Vat Xieng Thong Vat Xieng Thong Vat Xieng Thong Vat Xieng Thong

8 février 2012

Le Mékong (08/02/12)

Sur le Mékong Nous arrivons vers 8h40 chez Green Discovery pour notre journée en bateau sur le Mékong.  Green Discovery est une société d’Éco-tourisme (www.greendiscoverylaos.com), c’est à dire qu’ils s’imposent une charte de qualité vis-à-vis de leurs clients mais aussi vis-à-vis de l’environnement et des habitants du pays.  Nous partons quasi immédiatement avec notre guide et deux autres touristes : une suédoise et un israélien.  Notre premier arrêt est dans un village d’artisans : Ban Xangkhong. C’est ici que l’on fabrique les articles qui seront vendus le soir sur le marché de Luang Prabang. Le Laos étant un des pays les plus pauvres, l’importation d’artisanat n’est pas habituelle. Nous visitions un atelier de fabrication de papier style parchemin. Le papier est fait à partir de la sève d’un arbre (Marbury ?) ou pour une qualité moindre à partir d’excréments d’éléphants ou encore à partir de bambou.  Nous achetons 5 petits abat-jours pour un total de 50.000 Kips càd un peu moins de 5 €. Nous avions vu les même au marché mais les prix étaient le triple. Nous visitons un atelier de fabrication de soie naturelle. Nous voyons tout le cycle de production : Œufs de papillon, chenille, cocon, fil, coloration,…, métier à tisser.  Il y a également d’autres artisans au travail mais nous ne nous y arrêtons pas.
Lao-Lao Whisky Nous naviguons ensuite encore pendant 1 bonne heure pour arriver au deuxième village : XangHai plus connu sous le nom de «whisky village ». Ici, c’est un village pour touristes. On y fabriquait anciennement uniquement des jarres pour faire l’alcool de riz. Mais vu la proximité de la grotte de Pak Ou, le village s’est diversifié. Ils produisent maintenant : du vin à 15°, le « Lao-Lao » un alcool à plus ou moins 50°, des petites bouteilles d’alcool contenant un scorpion ou un serpent et bien d’autres choses encore.  Ce qu’ils ne produisent pas eux mêmes, ils l’achètent aux ethnies du nord du Laos. Nous n’y achetons rien et continuons à naviguer jusqu’au restaurant  pour la pause de midi.
grotte de Pak Ou Après le déjeuner, nous visiterons la grotte de Pak Ou qui contient, pour ses deux salles, un  total de 2500 Bouddhas. Nous sommes un peu déçus car les grottes sont beaucoup moins jolies que celles de Vang Vieng.  Au retour, les embruns provoqués par le bateau  nous donnent la fraîcheur bien agréable par cette température caniculaire. Le niveau du Mékong est à son point le plus bas et son débit ne doit pas représenter plus de 5% de celui atteint au mois d’octobre ou novembre. Des marques sur la roche indiquent d’ailleurs le niveau record atteint en 2008. Arrivé  vers 15h30 à LP, nous allons nous désaltérer au bar Utopia : joli cadre mais la clientèle un peu trop « babacool » à notre goût. Après cela, nous nous mettons en quête de trouver des VTT pour demain. En chemin, nous revoyons nos hollandais. Je « switch » rapidement de langue. Et voilà, nous nous racontons mutuellement nos 2 journées  passées à LP.  Après avoir fait plusieurs vendeurs, nous trouvons des VTT à des prix qui nous conviennent. Il est juste temps de profiter du magnifique couché de soleil sur le Mékong et nous retournons pour 6h30 à notre Guesthouse à vélo.
  Visualiser un diaporama Fabrication de papier Fabrication de la soie Fabrication de la soie Corolants naturels Fabrication de la soie Rives du Mékong Premier Arret sur le Mekong XangHai Village XangHai Village XangHai Village Le Mekong vu de la grotte de Pak Ou grotte de Pak Ou Transport de marchandises sur le Mekong Nam Kham à LP Bar Utopia Couché de Soleil sur le Mékong Couché de Soleil sur le Mékong

9 février 2012

Le pays aux milliers d'élephants (9/2/12)

Nam Khan Notre horaire nocturne se rapproche de plus en plus de celui des Laotiens : le coucher vers 21h30 et le lever vers 7 heures. Enfin, pour les laotiens c’est plutôt 22-6 heures. Nous partons à vélo en direction du village de Ban Phanom. Au début, la route est goudronnée, mais après 6 ou 7 kms cela devient une piste en terre battue et en cailloux, ce qui la rend très poussiéreuse. La route ne suit pas exactement le fleuve Nam Khan et s’en éloigne parfois d’un kilomètre. Comme elle est très vallonnée nous avons droit à de très jolis paysages karstiques. Et quand elle s’approche du fleuve, c’est pour nous offrir de magnifiques vues sur celui-ci et parfois également de jolies plages pour se baigner. Notre « Lonely Planet » nous renseigne que nous aurions dû voir la tombe et une statue à l’effigie d’Henri Mouhot, l’homme qui a découvert le site d’Angkor Vat et qui décéda du paludisme à LP. Nous ne la remarquons pas, trop occupés sans doute à admirer le paysage. Nous arrivons vers 9H20 au village de Ban Noum Savath . Nous nous rendons au bureau de « All Lao Service » qui propose des balades à dos d’éléphants. Nous partons quasi immédiatement sur le dos de la charmante « ThongKoun » qui à la peau un peu épaisse et le poil hérissé et dur. Expérience magnifique dans un cadre qui l’est tout autant.

Sur la route du retour C’est à 10H45 que nous ré-enfourchons nos vélos et continuons jusqu’au village de Ban Xieng Lom. Ici la route se termine en cul-de-sac. Juste avant le village, il y a un site hôtelier qui propose des balades à dos d’éléphants et toutes sortes d’activités liés aux pachydermes. Il est 11H45 et décidons de retourner à LP. La route du retour est toujours aussi vallonnée et poussiéreuse. Les descentes se font en utilisant constamment les freins. En plus, maintenant, nous vivons cette expérience sous un soleil de plomb (35° à l’ombre paraît-il). Mais qui est le con qui a imaginé une journée pareille ?
Djen Salai C’est vers 13H45 que nous arrivons exténués à LP et déjeunons au restaurant Djen Sabai. Ce restaurant est connu de tous les lecteurs du « Lonely Planet » et vaut bien les éloges qui y sont faits. Entre 12h et 19h c’est « Happy hours », deux cocktails pour le prix d’un. Nous goutons au plaisir du « Sex on the beach ». 2 € pour 2 cocktails cela ne se refuse pas. Après cela, nous commandons une fondue laotienne. Je vous explique. La table en céramique est carrée et se compose de 9 carrelages de 30 cm chacun. Le serveur enlève celui du milieu et y apporte un seau de braises. Il le surmonte ensuite d’une sorte de plateau dont le centre est un petit cône surélevé. Dans la partie basse, on y met un bouillon et plein d’ingrédients : légumes, nouilles, œufs, …. Sur le cône, on y dépose de la graisse et puis la viande. Quand tout est cuit, on transvase dans un bol. On déguste et on répète l’opération. Si un jour vous allez au Laos, ne ratez pas ce moment de plaisir. Aujourd’hui, c’était le jour de notre premier cocktail. Ce sera aussi le jour de notre premier dessert (du moins pour moi). L’endroit est tellement magnifique qu’on préfère y rester encore un peu. Nous roulerons encore 1 heure à vélo, mais uniquement sur des routes bien plates et à un train de sénateur. Nous prenons notre repas du soir plus tôt que d’habitude et nous nous couchons de bonne heure car demain nous nous levons à 5H20.
  Visualiser un diaporama Pays aux milliers d'éléphants Pays aux milliers d'éléphants Pays aux milliers d'éléphants Notre Mahout Pays aux milliers d'éléphants Lessive Nam Khan Pays aux milliers d'éléphants Nam Khan Nam Khan ThongKoun Djen Salai Djen Salai Pont d'accès à Djen Salai Bonze Sur le chemin du retour

10 février 2012

Tak Bat (10/02/12)

Tak Bat à Luang Prabang Le propriétaire de notre Guesthouse est suisse-allemand et  a épousé il ya 10 ans une laotienne. Lorsque nous lui avions demandé quel était le meilleur endroit pour voir la procession matinale des moines, il nous a dit qu’il organiserait, pour les gens qui le désirent, un départ en minibus ce vendredi matin à 5H45. Nous voilà donc parti avec le propriétaire, sa femme, son fils et 4 autres touristes.  En chemin, il nous explique que nous irons à un endroit pas trop touristique et nous donne les consignes d’usage.  Arrivé sur place, nous déplions la carpette et profitons de la nourriture qu’a préparée notre hôtesse. Nous participons pleinement à ce rituel non sans une certaine émotion.

 Voila ce que dit le « Lonely Planet » du TAK BAT – La procession des moines pour collecter les aumônes.

Chaque jour à l’aube, des bonzes pieds nus en robe safran parcourent les rues, où les fidèles remplissent leurs bols à aumône de riz gluant. Par cette cérémonie calme et méditative, les moines réaffirment leurs vœux de pauvreté et d’humilité, tandis que les bouddhistes augmentent leur mérite spirituel par de don respectueux.

-          SI ces processions ont lieu dans tout le pays, l’atmosphère paisible et l’exceptionnelle concentration de temples dans la veille ville de Luang Prabang confèrent une magie particulière à ces déambulations matinales. Malheureusement, les touristes commencent à dépasser en nombre les participants. Malgré les campagnes constantes demandant aux visiteurs de ne pas braquer leur appareil photo sur les moines, les paparazzis amateurs semblent incapables de se tenir à une distance convenable. Idéalement, vous devriez observer les consignes suivantes : restez de l’autre côté de la rue ou mieux encore, regardez discrètement la procession de la fenêtre de votre hôtel.

-          Abstenez- vous de prendre des photos ou faites-le de très loin à l’aide d’un zoom et n’utilisez jamais de flash.

-          Gardez le silence.

A condition que cette cérémonie ait véritablement un sens pour vous, vous pouvez y participer en acquérant quelques connaissances afin d’éviter les impairs. Ne vous laissez pas influencer par les marchands qui vendent à prix élevés du riz de piètre qualité, indigne des moines, et à la commercialisation de la procession. Commandez plutôt du Kao Kai Noi (riz gluant de qualité supérieure) à votre pension ou achetez-le fraîchement  cuit au marché du matin. Transportez-le ensuite dans un panier à riz et non un sac en plastique. Habillez-vous décemment (bras et jambes couverts), lavez-vous les mains et n’utilisez pas de parfum ou de lotion qui pourrait parfumer le riz que vous offrez.

Vat That Luang Après notre petit-déjeuner nous décidons de profiter de deux  à trois heures de loisirs pour mettre à jour le site et consulter  les informations  du pays dont la météo. Nous décidons que  nous allons faire comme le Mékong càd se la couler douce.  Nous retournons en ville et démarrons par une promenade le long du Mékong. Nous déjeunons avec une soupe de nouille dans le quartier de Xieng Thong.  Durant l’après-midi, nous parcourons les quartiers moins touristiques de LP. Nous visiterons les temples de Vat Aham, Vat Visunarat , That Makmo. Ensuite ceux de Vat PhaMahathat, Vat Manarom, Vat Hosian, pour terminer par celui de Vat That Luang. Dans l’enceinte de ce dernier temple nous ferons la causette pendant près d’une demi-heure avec deux jeunes laotiens désireux de parler anglais.  En chemin, nous aurons pu constater que LP contient de bien belles demeures datant de l’époque coloniale ou plus récentes mais de même style. 
  Visualiser un diaporama Tak Bat à Luang Prabang Tak Bat à Luang Prabang Tak Bat à Luang Prabang Tak Bat à Luang Prabang Tak Bat à Luang Prabang Tak Bat à Luang Prabang VAT en face du noodle soup LP Maison Coloniale Vat Aham Vat Aham Vat PhaMahathat Vat PhaMahathat Vat Manarom Vat Hosian Jeunes Laotiens LP Maison Coloniale

16 février 2012

Traversée de Pu Long (16/02/12)

Entrée de la grotte Nous nous réveillons au lever du jour. La nuit n’a pas été mauvaise mais le sol était quand même assez dur. Duc nous prépare pour le petit déjeuner une sorte de crêpe, épaisse comme un cake et agrémenté de bananes. C’est délicieux. Après avoir pris congé de nos hôtes, nous visitons une grotte toute proche. Nous entrons par un tout petit trou et trouvons une magnifique grotte. Cette grotte sert d’endroit de réunion aux jeunes du village et des graffitis garnissent certaines stalactites.
Rizières Nous continuons notre randonnée, traversons la rivière Pung et un ou deux villages. A flanc de montagne, les rizières en terrasses sont nombreuses. Comme nous sommes dans la période de plantation du riz, de nombreux villageois sont au travail. En passant près d’une maison sur pilotis, Duc nous montre des cercueils en bois qui serviront peut-être bientôt. Toute la vallée « Pu Long » est enclavée et inaccessible pour les voitures. Nous approchons de midi et nous empruntons des chemins très boueux. La marche devient difficile.
Pique-niqueNous nous arrêtons à midi dans un village où la guide demande à une habitante si nous pouvons pique-niquer dans sa maison. Une rétribution de 20.000 Dongs, soit 80 cents d’euro lui sera donné par la guide. Cette dame avait les dents noires car elle mâche du bétel, nous dit notre guide. Après déjeuner, nous continuons notre marche dans les montagnes karstiques. Le paysage est joli mais la route est toujours très difficile. Nous arrivons vers 5 heures à notre destination : le village de Kho Muong. Tout comme hier, dans ce village vit la minorité Thaï (qui sont de lointains cousins des Thaïlandais).
Bieng Nous sommes accueillis par « Nam » et sa femme « Bieng ». Leur fille « Thai » nous rejoindra plus tard. Nous sommes attirés rapidement par le feu qui se trouve au milieu de la maison. On essaie de se sécher un peu. Notre guide locale, Duc, a comme profession principale cuisinière. C’est elle qui préparera le diner. Les matières premières sont fournies par notre hôte. Nous assistons à la confection du diner. Pour les gens locaux, ce diner équivaut à un diner de fête. On aura des nems, du bœuf séché, du poulet, du canard, du riz, des légumes,….  La tradition vietnamienne veut qu’on démarre le repas par un petit verre d’alcool de manioc (30°) et qu’on le boive cul-sec. (Tram phan tram  en vietnamien.). On a trinqué au moins une quinzaine de fois durant le repas. Après cela plus besoin de guide pour traduire.     
Nous terminons la soirée au coin du feu avec un verre de thé et rejoignons rapidement notre carpette pour dormir.

  Visualiser un diaporama Dame transportant du riz Vallée de Pu Long Maison Enfant Villageois Machine pour séparer le riz Enfant Une paysanne Pilon à riz automatique Travail en rizière Vielle femme Cercueil Cochons La boue La boue Dans les nuages On se repose un peu Kho Muong Cuisson des Nems A table De la mangue comme dessert Nam fumant la pipe à eau Duc et Bieng

19 février 2012

Hanoï (19/02/12)

Nous sommes arrivés le dimanche 12 février à l’aéroport de Hanoï en provenance du Laos.  L’architecture du hall d’arrivée nous fait supposer qu’il a du être construit par les camarades soviétiques. Nous arrivons à l’hôtel vers 19 heures et décidons d’aller immédiatement diner dans le quartier. Ou sommes-nous tombés ? Nous venons de quitter le pays au million d’éléphants pour arriver au pays du milliard de motos. Plus sérieusement, Hanoï compte à peu prés 6 millions d’habitants et un peu plus de 3 millions de motos avec une proportion de  20 motos pour une voiture. Traverser la rue est une expérience unique. Comme le flot de voitures et surtout de motos est continu, la seule solution est de traverser par petit pas. D’abord on essaie de se joindre à un petit groupe de locaux qui vont traverser. Puis on se lance. Les motos passent à gauche ou à droite et cela vous donne la possibilité d’avancer d’un ou deux petits pas. Et ainsi de suite. Ouf ! On est arrivé sain et sauf de l’autre côté.  Dans les ruelles étroites de la vieille ville, les trottoirs sont remplis de motos et d’échoppes. On mange un bol de nouilles ou on boit un thé à même la route. Donc, les motos et quelques voitures circulent en zigzagant  entre les piétons. C’est un souk géant avec les motos en plus ! Dans les quartiers moins anciens (on ne peut pas utiliser le mot « plus moderne »), ce n’est pas mieux. Imaginez  Saint-Nicolas distribuant des bonbons et tous les enfants qui se bousculent pour en recevoir.  Maintenant translatez cela à la circulation routière. Et voilà, vous avez une bonne image de la  méthode de conduite dans Hanoï et dans le nord du Vietnam.  Un fait nous surprendra pendant toute la semaine à chaque entrée ou sortie de la ville : il n’y a pas de feux de signalisations, la circulation est dense et malgré cela, jamais de bouchons.

Nous visitons ce dimanche soir, le marché de la rue Hang Ngang  et ce mardi 14 février en fin d’après midi, le Temple Ngoc qui se trouve  au milieu du lac « Hoan Kiem. » En faisant, le tour du lac nous sommes attendris par la multitude de jeunes gens qui célèbrent la Saint-Valentin en s’offrant une rose ou un ballon en forme de cœur.  

Nous ferons la visite de Hanoï avec notre guide « Chung » ce dimanche 19 février.

(Cliquer sur une image pour consulter l'album photo)

Hanoi Temple Ngoc Temple Ngoc Saint Valentin
Jeu de reflexion dans le parc Tour de la tortue dans le lac Hoan Kiem
Vielle ville Vielle ville
Vielle ville Vielle ville Vielle ville
26 février 2012

Delta du Mékong (26/02/12)

Nous partons pour la ville de My Tho. (Ndlr: non je n’invente rien ! Mdr !) Cette ville du delta est la plus proche de Saigon et est donc un point d’embarquement sur le fleuve très fréquenté. Elle est également intéressante pour sa proximité avec la pagode Vinh Trang. Ici, des moines y enseignent et accueillent des enfants orphelins.
pagode Vinh Trang
Le midi, nous mangeons dans le superbe restaurant Mékong RestStop. Grâce aux photos, vous pourrez remarquer que le jardin est superbe et vaut le voyage à lui tout seul.
Nous arrivons pour 14 heures à Saigon et décidons de battre le pavé à la recherche du graal. En bon touriste, nous ne l’avons pas trouvé mais avons acheté quelques tee-shirts. Nous dinons au restaurant « Quan an Ngon » rue Pasteur, que Marie-France a fortement apprécié. Demain, nous quitterons les saïgonnaises qui sont toutes aussi jolies mais plus occidentalisées que les tonkinoises.
  Visualiser un diaporama pagode Vinh Trang Bouddha -pagode Vinh Trang pagode Vinh Trang pagode Vinh Trang pagode Vinh Trang pagode Vinh Trang Boule de riz au Mekong RestStop Jardin du Mekong RestStop Jardin du Mekong RestStop Jardin du Mekong RestStop Jardin du Mekong RestStop

1 janvier 2011

Préparation du voyage.

Nous avons préparé notre voyage 3 mois avant le départ. Pour cela nous avons commencé à chercher sur la toile toutes les informations utiles. Soit par google, soit dans www.voyageforum.com ou sur d’autres sites plus spécialisés comme www.tripadvisor.fr ou www.booking.com pour le choix des hôtels. Après nous nous sommes décidés à investir dans l’achat de guides comme Lonely Planet , Routard , Evasion ,… . (Je remercie au passage les personnes qui m’en ont prêtés.) Est venu alors le moment de la décision. Si la période de janvier-février est idéale pour visiter la Thaïlande, il n’en est pas de même pour Singapour ou Bali où le risque de pluie est très grand. Finalement ce sont les expériences positives des internautes qui nous ont décidé à choisir ces deux destinations même si la pluie est présente 17 jours sur 31. On s’adaptera. Le but étant de toute façon de visiter et non pas de s’allonger sur une plage. De plus, le dérèglement climatique nous a appris à nous méfier des prévisions. Nous devions avoir de la pluie en avril en Tanzanie, nous m’en n’avons pas eu. Nous ne devions pas avoir de pluie à l’île Maurice, nous en avons eu tout plein. De toute façon quand il fait 30 degrés sur l’équateur et qu’il gèle en Belgique, ce ne sont pas quelques averses qui vont nous chagriner.
Nous avons également décidé de construire notre voyage nous même càd sans passer par une agence de voyage afin d'être à 100 % libre de nos choix. Nous avons réservé la plupart des hôtels avant le départ, ainsi sur place, nous ne consacrerons  pas trop de temps pour trouver à nous loger. Nous avons choisi des hôtels milieu de gamme (voir liens dans la colonne de droite) afin de garder quelques sous pour nos vacances d’été en famille . Nous avons réservé  tous nos vols en ce mois d’octobre 2010. Ayant déjà eu la mauvaise expérience de raté une correspondance à Heathrow pour Hong Kong et  nous méfiant des grèves à Paris, nous avons opté pour un vol avec la compagnie SAS (via Copenhague) plutôt que China Airlines (via Amsterdam). Les prix étant à 10 €  similaires. Nous avions également contrôlé la qualité des compagnies aériennes via, entre autres, le site www.securivol.fr. Sur place, nous avons choisi  des compagnies low-cost. Avec  Air Asia, pour  Bangkok-Phnom Penh (73 € par personne toutes taxes comprises), Singapour-Bali (59€), Bali-Bangkok (110€), Bangkok-Chiang Mai (27€), Chiang Mai – Phuket (48€), Phuket-Bangkok (56€). Avec JetStar Asia pour le vol de Siem Reap (Cambodge) à Singapour (66 € + 25 $ pour visa de sortie).
Si nous aimons bien visiter ce qui fait la culture d’un pays et sa réputation, nous sommes très attirés par la nature en général. Nous sommes des passionnés de jardins et y consacrons pas mal de temps durant nos vacances. La vision d’un pays en dehors des grandes structures touristiques nous intéresse aussi. Nous organisons donc notre voyage en conséquence

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 5 > >>
Publicité