Aprés 3 jours passés à Bangkok , nous repartons vers notre plat pays. je vous décris en détail notre escale à Abu Dhabi avec Ethiad.

Nous sommes arrivés avec une heure de retard à Abu Dhabi en provenance de Bangkok. Il est 13h 20 quand nous atterrissons et il est prévu de repartir à 2h30 de la nuit pour Bruxelles. Nous  décidons de sortir de l’aéroport et de visiter la ville.

Nous suivons les indications sorties et arrivons à l’immigration. L’employé est relativement sympa, il nous demande si c’est notre première visite d’Abu Dhabi et nous souhaite « Welcome ». Nous ne nous occupons pas de nos bagages, puisqu’ils ont été enregistrés jusqu’à destination. Nous suivons ensuite les pictogrammes « Taxi ».  Juste avant la sortie, nous trouvons un bureau de change. Nous changeons 150 € au taux de 4.58, et recevons donc 680 dirhams. L’employée nous explique que si nous voulons rechanger notre surplus d’argent local, nous devons garder le ticket et dans les 24 heures, ils reprennent nos dirhams au même taux. Nous sommes sollicités par des rabatteurs de taxi non-officiel. Nous déclinons gentiment leurs offres. Nous nous dirigeons vers la sortie et trouvons une consigne pour y déposer nos bagages à main. C’est assez cher : 50 dirhams pour nos 2 bagages pour 24 heures.Comme on n’a pas le choix, on  le prend. Juste à coté se trouve un comptoir touristique. Nous recevons un plan de la ville et quelques explications.Le point de départ des taxis est situé au niveau de la route à la limite des terminaux 1 et 3.On nous laisse le choix entre un « taxi-meter »  c.à.d. un taxi avec compteur ou un taxi limousine avec prix forfaitaire. Comme le forfait est de 70 dirhams (15€), on choisi le forfait.Très mauvaise idée !  Nous demandons au taxi de nous déposer à « Marina Mall ». En chemin, il nous raconte que « Marina mall » et « Abu-Dhabi Mall », c’est la même chose. Je regarde mon plan et je lui dis que je veux aller à « Marina mall ». Arrivé à  « Abu-Dhabi Mall », il nous dit que nous sommes arrivés. Comme c’était un forfait,  autant raccourcir la course au maximum, s’était-il dit. Finalement, c’est sans trop de difficulté qu’il nous conduira à « Marina mall ».  

Arrivé au port, nous constatons tout de suite que la ville est immense et n’est pas faite pour les piétons. Devant le « Marina Mall » nous voyons un comptoir « Bus tour : Hop-on Hop-off ». Nous demandons le prix : 200 dirhams par personne pour 24 heures. Nous expliquons aux 2 filles qui tiennent le kiosque que c’est beaucoup car nous partons le soir. Comme nous voyageons avec Ethiad, après vérification de nos billets, elles nous donnent une remise de 20 % . Ok c’est bon. La principale attraction d’Abu Dhabi est la superbe mosquée Sheikh Zayed bin sultan al Nahyan.(Attention : pas de visite le vendredi). Nous y passerons une heure avant de reprendre le bus.  La seconde chose la plus intéressante est le « héritage village » qui se trouve à coté du Marina Mall. Comme nous sommes un peu fatigués, nous faisons l’impasse et montons au sommet de la Big Tower qui se trouve dans le Marina Mall.  Nous faisons un peu de shopping et trouvons un « Food Court » dans la Marina Mall. Les prix sont relativement bas : 22 dirhams pour un menu au Burger King, 29 dirhams pour un menu pizza juste à coté.  

Le Mall ferme à 22 heures. Nous le quittons à 21 heures et prenons un « taxi-meter ». Le  trafic est assez dense, mais finalement c’est en 30 minutes et pour un prix de 64 dirhams que nous arrivons à l’aéroport. Nous rechangeons notre argent au même taux qu’à l’achat.

Si vous souhaitez faire  une visite éclair à Abu Dhabi, je vous conseillerais de prendre un taxi  à l’aéroport jusqu'à la mosquée Sheikh Zayed.(20 minutes). D’y passer une heure, puis de prendre un taxi pour l’ « Héritage Village à coté du Marina Mall » (15 minutes) , puis de marcher les 500m jusqu'au Marina Mall et de prendre un café en haut de la « big tower ».  La solution  « Bus tour : Hop-on Hop-off » est également très bien, mais un peu cher.

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Un peu d’histoire.

En 1786, l’île de Penang a été achetée par un anglais appelé Francis Light, au sultan Abdullah pour une poignée de dollars espagnol et en compensation du commerce de l’opium de contrebande. Il y créa ensuite une ville appelée Georgetown en l’honneur du roi britannique George III.  Grâce à sa situation géographique, les anglais en firent une ville d’importance équivalente à Singapour. Elle fut un centre de commerce florissant. Beaucoup de chinois vinrent s’établir à Penang (cfr Chong Fatt Tse). Aujourd’hui, la population de l’île est estimée à 1 million et demi d’habitants et les chinois comptent pour plus de 60%.

Le nouvel an Chinois : Gong Xi Fa Cai.

Contrairement à notre coutume du réveillon, le nouvel an chinois se fête pendant toute une semaine. Nous avons donc fêté hier le nouvel an chinois par un bon repas. Les tables étaient généralement occupées par une petite dizaine de convives. Le buffet était énorme et délicieux. En Malaisie 2 choses ne sont pas chères, les transports et la nourriture. C’est simple, le montant affiché  en RM est le même que chez nous affiché en euro mais le taux de change est de 4RM pour 1€.  Exemple : Trajet Cameron Highlands-Penang 35RM pour plus de 200 km dans le bus le plus confortable que j’ai eu dans ma vie. Autre exemple : le prix de ce buffet de nouvel an dans un hôtel 4 étoiles, soft drink inclus : 52 RM par personne.

Notre Journée du 16/02/13.

Située à 800 mètres au dessus du niveau de la mer, la colline de Penang offre une superbe vue sur la ville de Georgetown et sur le détroit de Malacca.  Pour y monter, nous empruntons un funiculaire ultra moderne. Il est sans chauffeur et nous avons pris sa place. Les différents temples indou ou Musulman n’ont pas beaucoup d’intérêt.

Plus intéressant, par contre, a été la visite des Kongsi « chinois » de Georgetown. Un kongsi est un ensemble de bâtiments (Temple, commerces, artisanats,..) qui appartiennent à un même clan. On dénombre plus de 24 clans à Georgetown et nous en avons visité quelques-uns dont le plus beau, le Khoo Kongsi. Je vous donne le nom de quelques autres clans : Wang, Hong, Ye, Lu, Li, Chen, Luo, Guo, Zhong ,…..

Nous terminons cette après-midi par la visite du « Penang State Museum » qui retrace l’histoire de l’île depuis sa découverte par les anglais à nos jours. Revenu à l’hôtel, nous nous reposons un peu car ce soir c’est la fête.

 En effet, pour clôturer la semaine, c’est aujourd‘hui la fête du « nouvel an lunaire et de la culture et des traditions chinoises ». Concrètement, toutes les rues du quartier historique et chinois de Georgetown sont interdites à la circulation et envahies par des échoppes et autres distractions : danse du dragon (plusieurs variantes), Mandarins en habits d’époques, stands divers, Kongsi ouverts, artisans au travail, podium avec musique traditionnelle chinoise ou spectacle de danses. Bien sûr, on n’a pas échappé au « Gangnam Style ».  Nous remarquons que ni les Malais ni les Indous n’étaient dans les rues. La foule était très importante (15minutes pour avancer de 100 mètres). Les échoppes de nourriture étaient exclusivement réservées aux restaurants des grands hôtels et c’était délicieux. La soirée se termina à minuit par le feu d’artifice traditionnel.

Khoo Kongsi-Gong xi fa cai par Stephanasie
 

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Nous sommes arrivés ce midi à Penang au bout du détroit de Malacca et au bord de la mer d’Andaman que nous connaissons déjà pour l’avoir vue à Puket.  Autant vous le dire tout de suite, ici on retrouve la chaleur de Kuala Lumpur.  Nous n’avons cette après-midi visité qu’une seule chose : l’ancienne maison de Cheong Fatt Tze.  Ce personnage est considéré comme le dernier des mandarins et le premier des capitalistes Chinois. Il est décédé en 1916 et le "financial times" le surnoma à l'époque le Rockfeller chinois. Sa maison a été restaurée à l’identique en 1995. Classée au patrimoine mondial de l’Unesco, cette maison bleue a également servi pour le tournage du film « Indochine » avec Catherine Deneuve.

Avant de vous expliquer notre journée, je vous décris un petit peu les lieux.

Les Cameron Highlands ont été découverts par le britannique William Cameron en 1885 qui décida d’en faire un lieu de résidence pour échapper à la chaleur du reste du pays.  Ici la température moyenne est de 23 degrés et le minimum en hiver ne descend pas en dessous des 16 degrés. Bien que l’humidité soit toujours présente, les malais adorent ce climat et en on fait un lieu de villégiature important. On vient ici pour la promenade en montagne et prendre un bon bol d’air frais. En cette période de congé consécutif au nouvel an chinois, les hôtels sont remplis et la route plus bouchonnée qu’à Kuala Lumpur.Les Cameron Highlands sont constitués des communes de Brinchang, Tanah Rata et Ringlet qui  forment un ensemble de 15 km de long et ressemble un peu à des stations de sport d’hiver avec ses nombreux et immenses Ressorts.

Vu le climat et comme le paysage est très vallonné, les anglais ont tout naturellement introduit la culture du thé. Comme la terre est très fertile, les malais en ont  intensifié la culture et, en plus,  en ont fait un énorme potager qui, aujourd’hui, fourni la Malaisie en légumes de climat tempéré : tomates, choux, salades, céleris, etc … Les cultures sont gigantesques et souvent sous abris. Grâce à des serres du type tonnelle, on récupère l’eau et régule ainsi la distribution vers les plantes. La fraise est l’emblème de la région mais comme elles sont cultivées toute l’année, les variétés choisies ne sont pas aussi sucrées que les nôtres.  Cependant, nous avons bu hier un délicieux jus de fraises fraîches, avec un peu de sucre ajouté il est vrai, mais pour un prix incroyable de 0,75€ pour 33cl.     

Le trek :
Nous partons à 8H45 de Tanah Rata. Nous sommes un groupe de 10 européens  (Anglais, Français, Suédois, Tchèques et Belges). Après une heure de voiture, nous arrivons au lieu de départ du trek et constatons qu’il pleut à seaux. On aurait dû s’en douter, le trek s’appelle « Rainforest Expedition » et en plus Cameron rime souvent avec eau. 

On s’enfonce dans la jungle. Notre guide est équipé d’une machette pour nous frayer le passage. Nos conditions sont pires que celles de notre trek au Vietnam : Il pleut fort, les sentiers du début sont devenus des petits ruisseaux et nous marchons dedans. Nous traversons les rivières sur des cailloux qui sont totalement immergés. Malgré cela, le spectacle en vaut la peine : forêt vierge, bambous géants, bananiers sauvages, fougères arborescentes immenses, lianes, ronces et toutes sortes de plantes que nous ne connaissons pas. A un moment, le guide nous arrête car il a vu prés de notre chemin une araignée géante, bien connue dans la région car son venin est mortel si on n’intervient pas dans les 2 heures. Il nous explique aussi qu’il y a encore quelques tigres et léopards dans la jungle et, pour les faire fuir, ils utilisent des pétards. L’expérience est bruyante et concluante : nous ne verrons pas de félins. On nous a prévenu que nous ne verrions pas non plus la Rafflesia, la fleur la plus grande du monde, car celle-ci ne  vit que 7 jours et le guide sait qu’il n’y en a pas d’ouverte en ce moment. Nous verrons quand même une Rafflesia en bouton. Nous terminons ce petit trek de 4 heures par la visite d’un village aborigène et une démonstration de tir à pipe. En essayant de se sécher, Marie-France constate, non sans dégoût, qu’une sangsue s’est glissée sous son polar, juste  à hauteur du nombril. Mais comment est-elle arrivée là ? La sangsue injecte un anticoagulant sous la peau et puis se remplit du sang de sa victime.  Il faut bien 5 minutes à Marie-France pour arrêter l’hémorragie. Les deux suédoises, au physique de sauteuses en hauteur et habillées sportivement, en ont sur les pieds et le tchèque au niveau du genou. Il est 3 heures de l’après-midi lorsque nous terminons un déjeuner pris rapidement.

L’après midi est consacrée à la visite des productions locales : d’abord une usine de thé et les plantations avoisinantes, ensuite une ferme de papillons et d’insectes que nous aurions pu voir dans la jungle (scorpion, tarentule, serpent,…) et enfin une exploitation de fraises. Nous allons aussi à Gunung Brinchang et son point culminant à 6666 ft au dessus du niveau de la mer. En chemin, nous voyons des plantes carnivores et  un endroit appelé « Forêt de mousse » car la mousse a recouvert le sol spongieux. Nous rentrons à l’hôtel à 20 heures avec les pieds encore mouillés du matin.

Cameron Highlands  est une ancienne station d’altitude (1600m de moyenne) d’époque coloniale. Une bouffée d’air frais après la chaleur tropicale. A 14h, il n’y avait que 22 degrés et une humidité dans l’air qui semblait être un petit crachin.  Ici, c’est la luxuriance de la flore qui prédomine. Nous n’avons visité aujourd’hui que le jardin botanique « Mardi ». Nous y avons vu énormément de plantes qui chez nous sont confinées à nos intérieurs et qu’ici vivent toute l’année dans la nature. Il y a également des plantes connues, comme par exemple des cannas de toutes les couleurs : des connues (jaune, rouge, pêche) et des asiatiques (riz jaune.) Comme j'avais oublié l'appareil photo dans la chambre, j'ai dû me rabbatre sur nom GSM.  Demain nous nous promènerons un peu plus dans la nature.

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Quelle chaleur! Plus de 36 degrés à l’ombre. On n’en demandait pas autant. Que peut-on faire par une température pareille ?  La seule chose que nous avons trouvée est de nous réfugier dans les centres commerciaux climatisés. Avant cela, nous sommes montés à la tour « Menara KL Tower » haute de 421 mètres. Bien que ce soit la 5^ème tour de télécommunication la plus haute du monde, ce n’est pas le point culminant de KL. Ce privilège revient à ce qui est le symbole de la ville, j’ai nommé  les tours jumelles Petronas qui culminent à 451m hors du sol. Nous avons pu les admirer hier soir, totalement illuminées, et c’était magnifique.  La vue à 360°, depuis le haut de la tour « Menara »,  permet de voir toute la ville de KL. On constate que celle-ci est très étendue, très verte et que l’alternance de buildings et de quartiers résidentiels lui donne un équilibre tout particulier.  KL a beaucoup d’attraits et nous y  reviendrons probablement un jour.  
 


Danse au Menara de Kuala Lumpour par Stephanasie

Nous partons à 8H précises de la nouvelle gare de bus, au sud de Kuala Lumpur, pour Malacca. La gare est flambant neuve et ressemble à un aéroport. Ici en Malaisie, le bus joue le rôle du train chez nous. Après 1H30 de route, nous arrivons à la gare routière de Malacca et vers 10H nous démarrons la visite du centre de la ville.  Malacca est connu pour son détroit qui relie l’océan indien à l’océan pacifique et qui est l'une des voies de navigation les plus fréquentées au monde. Malacca est ainsi la ville où démarre l’histoire de la  Malaisie. A une époque, le sultanat de Malacca était très puissant et contrôlait toute la péninsule malaise. Ensuite, le pays a été successivement contrôlé par les portugais, les hollandais et les anglais. Nous visitons donc une jolie ville coloniale avec ses églises de la période anglaise et son ancien hôtel de ville encore baptisé « Stadhuis ». Il ya beaucoup de musées et nous en visitons un ou deux. Le palais du dernier Sultan a été complètement reconstruit à l’identique et est assez intéressant. Après le déjeuner, nous nous baladons dans le Chinatown local.  Comme le nouvel an chinois octroie deux jours fériés aux malais, ils sont très nombreux aujourd’hui encore à en profiter. Nous quittons Malacca à 17 heures et découvrons que KL a aussi ses embouteillages.
 

Journée de transition aujourd’hui. Nous quittons Yangon pour Kuala Lumpur.  La Malaisie est le pays le plus développé du Sud-est asiatique et on le remarque tout de suite à son réseau routier. Nous arrivons à 14 heures à l’hôtel et partons immédiatement à la découverte de la ville. Nous laissons la voiture mise à notre disposition devant l’hôtel (voir photo)  Nous visitons le quartier chinois et le « Center market ».   Nous nous promenons en ville et avons découvert  un joli complexe commercial. Nous rentrons vers 20 heures  et profitons d’un internet performant et d’une télévision satellite.

Cela devient une habitude maintenant, nous nous levons avec le soleil.  Il n’est pas encore 8 heures que nous descendons les 2 km qui nous ont fait transpirer hier pendant 40 minutes. En moins de 20 minutes, nous les descendons. Aujourd’hui, samedi, la foule des birmans qui montent vers le rocher est impressionnante. Nous remontons dans un camion, cette fois destiné aux locaux. La différence : pour les occidentaux, il y a 6 planches pour chaque fois 5 personnes, pour les locaux, 7 planches pour chaque fois 6 personnes. On est serré comme des sardines. Marie-France a choisi un bord, moi je me suis laissé coincer entre 2 petites birmanes. Dur dur, la vie !

Notre chauffeur nous attend au bas de la colline et nous amène, après 1H30 de route, compléter la visite de Bago. Nous débutons par le bouddha couché de Shwethalyaung, puis la paya Mahazaedi, ensuite le Maha Kalyani Sima et enfin le Kyaik pun.  Nous arrivons à Yangon vers 16h30 et nous nous baladons une dernière fois en ville.
 

Nous logeons à l’hôtel Central, hôtel très bien situé dans le vieux Yangon. L’hôtel est surtout fréquenté par des hommes d’affaires et ressemble à ce qu’était un hôtel 4 étoiles dans les années 70 : peinture récente, luminaire en dorure, mobilier neuf mais au design ancien. Tout est nickel, pas de lézard !  Sauf un qui s’est rapidement caché derrière le miroir de la salle de bain.

A 85 km de Yangon, on trouve la ville de Bago (Pegu ou Pegou). Ancienne capitale(*), elle est surtout connue pour ses édifices religieux. Nous n’avons aujourd’hui que 2 heures pour la découvrir mais nous y reviendrons demain. Aujourd’hui, on a  visité la Paya Shwemawdaw, le palais Kanbawzathadi et le zedi Hintha Gon. (NDLR : zedi est le nom birman de stupa. Rappel : un stupa est un édifice conique plein dans lequel est enfermé quelque chose de sacré)   

Bago-Le temple aux folles par Stephanasie

Vers 14 heures, nous démarrons  l’ascension du mont Kyaiktiyo, d’abord en camion et puis à pied. Nous arrivons au sommet et découvrons le sanctuaire du rocher d’or. Troisième site sacré, après la pagode Shwedagon de Yangon et le Mahamuni de Mandalay, ce site est surtout visité par des locaux. Petite déception quand même, le rocher d’or est en travaux et il est entièrement emballé dans des feuilles de papier brun. C’est dommage mais on se contentera des posters.
 

(*)  On a déjà vu 7 anciennes capitales : Bagan, Mingun, Ava,  Amarapura, Mandalay, Yangon  et maintenant Bago.