Vers Nong Khai (28/01/12)

Nous voici parti pour ce second voyage. Tout commence bien : nous partons de Bruxelles à l’heure prévue (10H50). Ouf ! Cela nous supprime le petit stress du matin. En effet, j’avais remarqué la veille que l’horaire de départ était retardé de 35 minutes. Déjà, lorsque j’avais acheté les billets en septembre passé, je trouvais que deux heures pour le transit à Abou Dhabi c’était le minimum. Bon d’accord la grève générale n’est que pour ce lundi. Mais avec ces rigolos de syndicalistes, on a déjà vu des pré-grèves les jours précédents. Ici, rien de cela et nous arrivons à Abou Dhabi avec tout le temps nécessaire pour le transit. Dans l’avion pour Bangkok, le hasard a voulu que notre voisin de vol soit une personne avec qui Marie-France avait voyagé lors d’un incentive HP en Martinique. Le monde est petit parfois.

Nous arrivons à Bangkok à 6h30 du matin, ce qui correspond à minuit 30 heure de Bruxelles. Le contrôle de l’immigration se passe relativement vite et les bagages nous attendent. Le visa est toujours gratuit, on ne va pas s’en plaindre. ! C’est la quatrième fois que nous atterrisons à Bangkok et nous sommes toujours émerveillés devant ce magnifique aéroport. Comme on a 4 heures devant nous, on en profite pour se reposer un peu. Nous arrivons vers 12h15 à l’aéroport d’Udon Thani dans le nord-est de la Thailande. On prend une « limousine-Express » càd un Van pour 10 personnes. Le chauffeur nous dépose devant l’hôtel à Nong Khai. Malheureusement, ce n’est pas le bon mais il y a toujours un tuk-tuk pas loin…. Comme j’avais pris soin d’imprimer l’adresse de l’hôtel en thaïlandais, j’étais convaincu que ce serait un jeu d’enfant ! Et bien non. Il a tourné pendant trois quarts d’heure dans la ville pour nous déposer à … 200 mètres de notre point de départ !

Après une sieste de 3 heures, nous sommes partis diner en ville avec notre Lonely planet sous le bras. On se rabat sur le restaurant vietnamien « Daend Namnuang » le long du Mekong : succulent et pas cher ! Sur le retour, Marie-France n’as pas su résister à l’odeur des pancakes. Comme quoi,histoire se répète …